Cela n'étonnera pas ceux qui me connaissent: j'ai failli bouffer mon ordinateur!!! Trois jours que ce texte est prêt, et trois jours que je m'escrimais à trouver un logiciel pour réduire les vidéos afin que le blog les accepte. Je persiste et signe: l'informatique, c'est bien quand ça marche, mais le reste du temps, c'est bourré de pièges à... Bref, voici donc l'article en question:
Si le retour du marché de Melbourne samedi a été dur, avec
l’hécatombe chez les poulets, le marché a été l’occasion pour moi de découvrir
un truc génial (hormis bien sur le plaisir de revoir les gens que j’avais déjà
vu la semaine dernière, Manon la productrice de viande d’agneau, Mario et son
café, Julie et ses pains, Line et ses pâtisseries, Gaston et Céline les parents
de Lucie…), le yoga swing, une chaise de yoga mais pas que.
En gros, c’est comme un hamac, mais grâce à un ajout de
multiples poignées et crochets pour varier ses dimensions et hauteurs ainsi que
pour s’y accrocher, on peut faire des exercices d’étirement, se suspendre par
les pieds pour détendre tout le corps, faire des pompes, s’assoir
confortablement et, accessoirement, y faire une petite sieste. En toile de
parachute, ça peut soutenir un éléphant – enfin, vous voyez l’image… - et il y a cinq ou six choix de couleurs.
Au marché de Melbourne, il est proposé par Mathieu et sa
compagne, qui commercialisent les produits du « laboratoire Pachaloha »,
produits cosmétiques et d’aromathérapie naturels. « Le yoga swing est fabriqué
par une coopérative de femmes à Bali », m’indiquent-ils. Peut-être qu’on
le trouve en Europe, mais en tout cas, moi je ne connaissais pas, donc voici le
site :
www.pachaloha.com et une
petite démonstration de son utilisation par le jeune couple:
Et par moi:
Même élégance naturelle, n'est-ce pas?...
Le coût actuel est de 140 $ canadiens (environ 100 euros) et
franchement, quand je rentrerai en France dans un an, j’en commanderai
un !!!! Après, ne restera plus qu’à arriver à l’accrocher au plafond,
hum…..
Clamato and Co
Sinon, j’ai donc testé la bière au Clamato (le jus de
légumes avec jus de palourde, voir mon article sur la Fête nationale du Québec). C’est, euh, comment dire, particulier… Disons que je suis contente d’avoir essayé…
En
revanche, j’ai de nouveau craqué pour le beurre de cacahuète, heureusement pas
avec la même intensité qu’en classe aux USA (cela n’existait pas encore en
France et j’avais découvert cela avec ravissement, je vous parle d’un temps que
les moins de vingt ans, etc, etc…) où carrément je faisais des sandwich de
peanut butter au pain. En France, je l’achète bio et j’en mange peu car ce
n’est pas dans nos habitudes, mais ici, un petit déj sandwich beurre de
cacahuète, c’est méchamment bon…
Quoi encore ? Ah oui ! Quand quelqu’un vient vous
rendre visite, cela n’a rien à voir avec ce que l’on connaît chez nous. Ici,
c’est la façon « easy going » nord américaine : chacun est libre
d’ouvrir le frigo et se servir soi-même. Par exemple dimanche après-midi,
véritable dimanche de novembre, la soupe aux pois réchauffait sur la cuisinière
après qu’on ait passé la journée à soigner les poulets. Le fils d’un ami qui
venait rendre visite a ouvert le couvercle, goûté la soupe et s’est servi un
bol. Ici, c’est tout à fait naturel ! Bon, OK, il y a peut-être des
familles où c’est moins ouvert, mais c’était ce que j’avais déjà vécu lors de
mon année scolaire aux USA. Donc…
Et voilà les croupions!
Des petites nouvelles de la volaille, aussi. Les poulets vont mieux, chaque jour certains quittent "l'hôpital" pour retourner au poulailler.J'ai donc fait une petite photo des croupions d'argent. Qui sait, je vais peut-être débuter une mode...
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Médaille d'argent du plus beau croupion |
vu ta position c'est bien à Melbourne, (aux antipodes par conséquent !) que tu te trouves : le bonjour au camp gourou, oups kangourous !!!
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RépondreSupprimerHerueusement que je n'avais pas la tête dans la terre, je serais tombée sur une autruche...
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