Wwoof autour du monde

C'est l'histoire d'une journaliste qui va se nettoyer les neurones durant un an en faisant du wwoofing autour du monde.

Pour ceux qui ne connaissent pas, wwoofing: willing workers on organic farms, c'est-à-dire aider des agriculteurs bio et en échange être logé et nourri.

Pourquoi du wwoofing? Parce qu'il combine tout ce que j'aime: la nature, le grand air - ah, les mains dans la terre, finir sa journée crottée - les voyages, les rencontres... Et surtout, je n'avais pas envie de "voyager pour voyager", mais trouver un fil conducteur et apporter ma petite contribution à une autre façon d'envisager notre monde.

Attention! Ce n'est pas un travail journalistique que je fais ici, je ne prétends pas à l'exactitude, mais au partage de ce que je vis. Pour le plaisir, simplement...

samedi 2 janvier 2016

Sur la route, épisode 2: Kaikoura, Lindis Pass..

La Nouvelle-Zélande est grande comme la Grande-Bretagne, avec simplement quatre millions d'habitants, dont trois vivent dans l'île du Nord. Ile du Sud: espaces immenses peuplés de moutons et de vaches, avec pour seuls lieux habités des fermes, une ville tous les cinquante ou cent kilomètres... Pour découvrir cette île, j'ai opté pour la voiture, idéale pour rêver, laisser son imagination vagabonder, se retrouver face à des montagnes à l'infini, des steppes, ou des images de far-west lointain... Je n'écrirai donc pas beaucoup, je me contente de montrer ce que j'ai pu voir. C'est là que la frustration est grande: les photos ne peuvent jamais rendre compte de la réalité, le vent qui souffle, l'immensité qui vous prend et vous laisse ivre d'espace, elles n'en sont qu'une pâle copie.

Quelque part entre Kaikoura et Lindis Pass...
Lindis Pass.
Lindis Pass encore; partout les lupins forment d'immenses tapis colorés.


Près de Lindis Pass.
Des images dont je ne me lasserai jamais: ces rubans de nuages qui coulent sur le flanc des montagnes, et ces paysages où l'horizon défie le regard...




A Kaikoura, j'avoue que j'ai mis mes idéaux environnementaux un peu de côté, mais je n'ai pas résisté à la tentation du vol pour voir les baleines. Le backpackers hotel m'a assuré que ces petits avions ne consomment pas plus que les gros bateaux qui font également les excursions baleines. Je n'ai pas les compétences techniques pour savoir si c'est vrai ou pas...

A Kaikoura, les baleines que l'on voit sont des cachalots. C'est le truc en bas à droite sur la photo...



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